19 ème siècle // RPG

Qu'il faisait bon dans cette bibliothèque. Les fenêtres étroites nous protégeaient de cette chaleur étouffante qui pèse au dehors. J'ai pris un livre de prière et je me suis assise dans un coin. Je me sentais bien, tellement bien. Je retrouvais ici la paix qui est si rare à Versailles.
Je me demande si Madame de Breteuil me laissera revenir ici. Je usi demoiselle d'Honneur à son service et je me dois de l'accompagner en tout. Mais nous sommes si nombreuses et chacune essaie de se faire remarquer. Hier Mademoiselle de Marsanne n'a plus trouver sa couverture en allant se coucher. Il s'agissait certainement d'un vengeance. Elle avait eu le matin même un bon mot qui avait fait rire Madame de Breteuil. Ce mot lui a coûté sa couverture. Ce matin elle n'a plus de voix, car les nuits sont fraiches en ce printemps.
Ce que je déteste aussi ce sont ces petites chambres, sous les toits où dans les combles. Nous nous serrons là à trois par chambres. Nos coffres ne peuvent pas être ouverts en même temps sous peine de ne plus avoir accès aux couches.
Camille s'approche dans mos dos. J'aime beaoucoup la compagnie de Camille de Clairvaux. Elle est jeune et pétillante toujours pleines d'idées. Elle est au serivce de Madame, comtesse de Dreux. Et Une chance, nos deux maîtresses sont amies; ce qui nous donne l'occasion de nous voir souvent. Par contre, la cours de la comtesse de Dreux est plus nombreuse que celle de Madame de Breteuil. Et Camille dispose d'une plus grande liberté que moi.
Viens allons prendre l'air Me dit Camille
et je la suis. J'espère revenir bien vite

Ce matin, j'ai fait la plus belle visite de ma vie. La bibliotèque de Versailles. Ce lieu à la foi majestieux reposant et... magnifique. Mon amie Eléonore m'a accompgnée. Elle m'a fait remarqué les tableaux situés tout au fond.
Moi : Tellement il y a de tableaux, on se croirait dans un musée.
Eléonore : Vous avez raison. D'ailleurs, on dirait ^qu'il y a autant d'ouvrages que de peintures.
Moi : Non... Quand même pas !

A vous.